Livraison de Torah

Réfoua Chalema BzH de Laurent Mordekhai ben Brenda

Parasha

1 Mar 2025

Quelle faute ont commis les Nessiim ? En quoi la זריזות est un fondement de notre avodat Hachem ?

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par torathut.com

Parasha

16 Feb 2025

Qu’a entendu Yitro pour se convertir au judaisme ? Pourquoi les plaies et l’ouverture de la mer n’ont pas suffit à la convaincre ?

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Parasha

9 Feb 2025

Paro prend 600 chars d’élites pour attaquer les bné Israel qui sont au nombre de 600 000 hommes. Un égyptien contre mille hébreux. Qui devrait avoir peur ?

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Tefila

7 Feb 2025

A chabath, nous recevons en cadeau une néchama Yetera qui nous donne des forces spirituelles supplémentaires pour vivre au mieux et profiter de la kedoucha de ce jour. Mais attention, pour la recevoir, il faut avoir la kavana (l’intention) de l’accueillir. A quel moment arrive-t-elle et comment la recevoir ?
1. Dans “Lekha dodi” à “Boi kala, boi kala“, nous recevons la partie qui correspond au Nefesh. (on doit se tenir debout face tournée à l’ouest et se basculer légèrement sans se prosterner à droite et à gauche)
2. Avant la tefila d’arvit, au moment de “Barehou” (après le kadich), nous recevons la partie qui correspond au Rouah.
3. Juste avant la amida d’arvit, dans “Ashkivenou”, au moment de “Oufrosh alenou” nous recevons la partie qui correspond à la Neshama.
C’est justement pour cette raison que nous devons nous tenir debout à ces trois passages.

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Parasha

2 Feb 2025

Les grands miracles permettent de prendre conscience des petits miracles. La sortie d’Egypte, un récit précis essentiel pour la émouna.

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Parasha

21 Jan 2025

Des Imaot à Tsipora, và la découverte de la protection des femmes d’Israel.

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Parasha

20 Jan 2025

Les différents nouveaux de émouna : Rabbi Akiva vs Ich Gamzou

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Histoires

14 Jan 2025

Histoire incroyable : Jusqu’où un homme doit aller pour ne pas faire honte à quelqu’un.

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Parasha

14 Jan 2025

Pourquoi le nombre d’étoiles est-il cité avec précision dans la guemara ? Pourquoi la Torah nous compare a ces lumières ? Un grand secret se cache derrière chaque juif.

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Fêtes

26 Mar 2024

Une fois par an, nous avons une unique obligation de la Torah de manger de la Matsa. C’est la seule obligation concernant la nourriture de toute la Torah. Tout celui voulant bien faire essayera de faire cette mitsva de la meilleure façon possible avec tous les embellissements qui l’accompagne. Il fait savoir qu’une chaîne de production de Matsot est très sensible et regroupe un grand nombre de paramètres. Certains étant critique (risque de hametz) et d’autres juste des hidourim pour respecter toutes les opinions. De la récolte du blé, à l’utilisation de l’eau, au façonnage de la pâte et à la cuisson… Tout doit être contrôlé, mesuré,… Le personnel, le roulement, les ustensiles, la météo, le transport, les résidus, le pétrissage, le prélèvement,… En fonction de la fabrique certaines choses seront tolérées et d’autres non. C’est cela qui fera toute la différence entre un ekhsher de cacherout et un autre et entre une boîte à 50 nis et une autre à 300 nis. Cela ressemble à un père qui va marier son fils unique. Il a le choix entre un costume à 200 nis au marché ou un autre à 1500 nis chez un tailleur. Même un père sans trop de moyens fera tout ce qu’il peut pour faire honneur à cet évènement si particulier et unique.

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Tefila

26 Mar 2024

La tefila de la Amida étant déjà “Derabanan” (ordonnance des sages) pourquoi appelle t-on le Modim de la Hazara de la Amida “מודים דרבנן”? Il s’agit en fait d’une compilation de plusieurs avis sur le contenu et la forme de ce remerciement. On a mixé tous les avis et on a appelé cela le “remerciement des sages”.

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Fêtes

26 Mar 2024

Quand on met le prix dans des Matsot avec un niveau de Hidour (embellissement) élevé, il arrive souvent qu’un grand nombre des Matsot soient cassées surtout quand elles sont fines. Une astuce donnée par un Gadol d’Israël est de brûler légèrement le côté cassé afin de redonner un aspect entier et fini à la matsa. Bien sûr cela fonctionne qu’avec des petites cassures sur les côtés. Si la matsa est brisée en deux c’est une autre histoire…

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Parasha

5 Mar 2024

Lorsque Hachem prévient Moshe Rabbenou que son peuple est entrain de fauter (lors de la faute du veau d’or), il descend du Har Sinai avec les tables et arrivé en bas des qu’il aperçoit les Bné Israël il les fait tombé et elles se brisent. Pourquoi Moshe Rabbenou a-t-il attendu de voir la scène pour les casser et ne les a pas brisé avant lorsqu’Hachem le lui a dit ? Ne l’a t-il pas cru ! En fait il y a une différence entre entendre et voir. Entendre quelque chose ne pénètre pas l’homme de la même manière que si il l’a voyait. On l’a vu récemment dans l’actualité lorsque plusieurs personnalités politique ont vu le massacre de simha Torah en vidéo, elles ont été beaucoup plus marquées que lorsque elles avaient simplement écoutées les témoignages des personnes présentes à ce moment là. La vision est une porte que l’homme doit protéger. Car une image impropre, choquante,… Prendra des années avant d’être oubliée.

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Tefila

21 Feb 2024

Pour 4 choses nous demandons dans nos tefilot à Hachem que cela soit accomplis de manière שלם, c’est à dire entière / complète : Pour la santé רפאה שלמה, pour la délivrance גאולה שלמה, pour le repentir תשובה שלמה et pour la emouna אמונה שלמה. Les premières lettres de chacune de ses demandes ( ראשי תיבות) formes les lettres du mot Etrog אתרג. Nous savons que l’etrog représente parmi les 4 espèces ארבעה מינים que nous agitons à Souccot le cœur לב. Pour ces 4 choses, la emouna, la techouva, la guérison et la délivrance nous devons plus que le reste les demander avec le cœur pour que l’on soit exhaussés.

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Halakha

19 Feb 2024

Mesurer “מדידה” fait partie d’une des melakhot (travaux) interdites à chabath. Par exemple, prendre un mètre pour mesurer la dimension d’un meuble est interdit. Cependant, il existe deux types de mesures qui sont permises bien que ce soit chabath, si c’est pour une mitsva ou si c’est pour un malade. Il sera donc permis de prendre la température d’un enfant avec un thermomètre non digital ou encore de mesurer à l’aide d’une pipette graduée la quantité d’antibiotique nécessaire à administrer.

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Tefila

18 Feb 2024

Il y a une règle de base dans la Tefila, celle de toujours commencer par des louanges avant de faire ses demandes בקשות. C’est pour cela que l’on commence la Amida par trois Berakhot contenant des louanges. Mais complimenter quelqu’un pour obtenir quelque chose de lui n’est à priori pas d’un niveau très élevé : “Hachem tu es fort, Hachem tu es capable de tout…” pour après arriver à dire : “Hachem donne moi de l’argent, la santé…”?! Ça sonne faux non ? Le Mabit répond à cette contradiction. En réalité, les louanges ne sont pas pour Hachem mais pour nous même. Si l’on est capable de voir tous ces attributs d’Hachem et de vivre avec alors on peut Lui passer commande. Par contre, si l’on n’est pas encore convaincu de tout ça alors on sera de la même manière pas convaincu que tout ce qui nous fait vivre et que l’on reçoit au quotidien dépend de Lui. Du coup nos demandes ne sont pas à 100% sincères.

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Halakha

18 Feb 2024

Il sera permis à chabath d’attendre à l’arrêt de bus pour prendre le bus tout de suite après la sortie de chabath. On ne dira pas que ça rentre dans l’interdit de ממצאו חפצך car le fait d’être assis sur le banc de la station ou de se trouver sous l’auvent n’est pas forcément révélatrice de la kavana de l’homme. En effet, une personne peut être assise pour se reposer ou peut même se mettre sous l’abri bus pour se protéger de la pluie ou du soleil. De même, si elle se trouve en habits de chabath, tout le monde comprendra qu’elle n’attend pas le bus. Cependant, il sera interdit de regarder les horaires du bus car cela traduit forcément la volonté de la personne.

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Parasha

18 Feb 2024

Lorsqu’un artisan conçoit une œuvre, il va s’appliquer et faire en sorte que d’un point de vue extérieur le rendu soit parfait. Pas de trace de peinture, pas de fil qui dépasse… Par contre la partie cachée est négligée car personne n’est censée la voir. Dans la Torah, Hachem nous ordonne de faire le Aron Hakodesh avec trois conteneurs qui s’emboîtent comme des poupées russes. Une boîte en or à l’extérieur, une boîte en bois au milieu et une boîte en or à l’intérieur. C’est contraire à l’artisan qui lui ne regarde que l’extérieur ! Les Hakhamim nous disent comme l’homme comparé à l’arbre (au bois) pour tenir doit faire attention à son extérieure comme à son intérieur. Il doit viser à devenir de l’or aux yeux des autres mais aussi à condition que celui ci reflète son moi intérieur. Et c’est justement dans ces trois conteneurs que se trouvées les tables reçu au Har Sinai. Car c’est à la fois par le travail que l’homme va fournir pour tendre vers la perfection qu’il va pouvoir recevoir cette Torah et également par cette même Torah qu’il va pouvoir y parvenir.

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Parasha

15 Feb 2024

La paracha nous relate avec précision la construction des différents éléments du Michkan (verset 25-10). Parmi eux, le Kli Yakar s’arrête sur trois d’entre eux : Le Aaron (l’Arche Sainte), le Choulhan (la table des pains), et le Mizbear (l’autel pour les sacrifices). Pour ces trois composants, la Torah nous ordonne de les orner d’une corniche d’or sur leur partie supérieure, (comme une couronne). Autre point, ces trois éléments ont tous un référentiel de mesures différent. Le Aaron a des mesures avec des chiffres non entiers (2,5 amot de long pour 1,5 amot de large). Le Mizbeah quant à lui, à des mesures entières (5 amot sur 5 amot) . Et enfin le Choulhan, a aussi bien des mesures entières que non entières (2 amot de long sur 1,5 amot de large). Quelles sont les particularités de ces trois éléments ? Pourquoi eux seuls sont-ils ornés d’une corniche ? Et pourquoi y a-t-il un différentiel dans leurs mesures ?

Il est écrit que le monde détient trois couronnes : celle de la Torah, de la Kehouna (prêtrise) et de la Malkhout (la Royauté). Chacune correspond à un de nos composants du Michkan. Le Aaron qui contenait les tables de la lois est représenté par la couronne de la Torah; le Mizbeah où l’on faisait les Korbanot (les sacrifices) est associé à la couronne de la Kehouna (Le service des Cohanim); et le Choulhan est quand à lui relié à la couronne de la Malkhout. Nos sages nous enseignent que pour inspirer aux choses Rourhani (spirituelles), il faut toujours avoir les yeux vers le haut. C’est-à-dire viser un objectif élevé qui va nous donner la force et la volonté de grandir dans cette voie. C’est d’ailleurs la seule jalousie autorisée dans la Torah, celle d’envier le Talmid Hakham et de son niveau de Torah élevé ou du niveau de sa piété. Pourquoi ? parce qu’elle va inspirer l’homme et lui donner l’envie de se rapprocher de ce niveau. A l’inverse, lorsqu’on parle du Homer (la matérialité), pour obtenir satisfaction il faut regarder vers le bas. Ainsi, on sera content de ce que l’on a en voyant les autres à un niveau beaucoup plus bas que nous. Alors que si l’on regarde vers les personnes qui ont plus, on sera frustré de ne pas avoir ce qu’ils ont. Cette jalousie est quant à elle interdite par la Torah et n’apporte rien de constructif à l’homme. 

Pourtant, nous adoptons une attitude complètement différente pendant la Tefila. Nos yeux doivent être dirigés vers la bas, en signe de modestie et notre coeur lui doit être orienté vers le haut avec la volonté de vouloir se rapprocher d’Hachem. Or, il faut savoir que le cœur représente chez nous la Hokhma (la sagesse). On le voit de Shlomo Hamelekh (le roi) qui a demandé à Hachem un “לב שומע”, un coeur qui entend. Un cœur qui soit apte à recevoir la sagesse de partout et de quiconque. Et nous savons que personne n’a égalé la sagesse de Shlomo Hamelekh. 

En ce qui concerne les yeux, qui eux sont baissés vers la bas, ils représentent les תאבות , les désirs du corps. Et par rapport à ça, Shlomo Hamelekh demandait à Hachem de ne pas lui donner trop de richesses. (même si finalement il a eu sagesse et richesses). Baisser les yeux pour ne pas regarder ce qu’on les autres et ne pas inspirer aux désirs qui nous appellent à chaque coin de rue : “Vibrez avec CocaCola”, “Devenez vous même avec de la Bkaila”… Un homme seul sur une île déserte se contenterait du minimum pour vivre et être heureux. Une noix de coco au petit déjeuner, un matelas en feuilles de bananiers et c’est tout !

Revenons chez nous avec notre Michkan et nos questions. Pourquoi avoir des référentiels de mesures différents pour l’Arche Sainte, la Table des pains et l’Autel des sacrifices ? 

Tout d’abord, nous avons dit que le Aaron (l’arche) avait lui des mesures contenant des chiffres non entiers. Il manque toujours un 0,..1 pour arriver à quelque chose de complet.
Le Kli Yakar nous donne un enseignement extraordinaire. Le Aaron symbolise la Torah et donc la sagesse. Il faut toujours considérer que cette sagesse est incomplète et voir toujours plus haut. Dans Pirke Avot il écrit, “Qui est Sage ? Celui qui apprend de tout homme”. 

Ensuite, nous avons le Choulhan, (la Table) qui elle représente la royauté, qui est le plus haut degré de valorisation et de réussite dans ce monde. Qui plus haut et plus riche que le roi ? Pourtant, il faut savoir que cette richesse vient exclusivement d’Hachem. C’est pour cette raison que la table a une mesure entière et l’autre non. Celle entière pour se satisfaire pleinement de ce qu’on a (יש לי הכל), et celle cassée pour mettre en garde contre les désirs matériels, savoir les casser et apprendre à freiner ses envies lorsque la tentation est à chaque coin de rue. 
Enfin, il nous reste le Mizbeah, (l’Autel) qui lui a des mesures complètes. Les Cohanim qui servaient au Michkan, apportaient des Korbanot (sacrifices) d’animaux pour expier les fautes du corps et des encens pour expier les fautes et nettoyer la Nechama. Il faut savoir que chaque faute même si on ne le voit pas au premier abord, détériore le corps et met un voile sur la nechama qui occulte notre connexion avec Hachem. De ce fait, après la faute, l’homme a besoin de se réparer pour devenir de nouveau entier. C’est la raison pour laquelle les mesures du Mizbeah sont complètes, car elles symbolisent la finalité vers laquelle l’homme doit tendre : Être entier (שלם).
L’explication du Kli Yakar sur cette paracha qui paraît très technique nous délivre un enseignement époustouflant, celui de ne jamais se sentir rassasié de l’apprentissage et celui de savoir se limiter dans les désirs qui eux ne rassasient jamais un homme. Devenir entier c’est savoir doser et éliminer le superflu pour garder et avancer qu’avec l’essentiel. (Conseil de Shlomo Hamelekh, l’homme le plus sage et l’un des plus riche de l’histoire)

Nous adoptons pourtant une attitude complètement différente pendant la Tefila. Nos yeux doivent être dirigés vers la bas, en signe de modestie et notre coeur lui doit être orienté vers le haut avec la volonté de vouloir se rapprocher d’Hachem. Or, il faut savoir que le cœur représente chez nous la Hokhma (la sagesse). On le voit de Shlomo Hamelekh (le roi) qui a demandé à Hachem un “לב שומע”, un coeur qui entend. Un cœur qui soit apte à recevoir la sagesse de partout et de quiconque. Et nous savons que personne n’a égalé la sagesse de Shlomo Hamelekh. 

En ce qui concerne les yeux, qui eux sont baissés vers la bas, ils représentent les תאבות , les désirs du corps. Et par rapport à ça, Shlomo Hamelekh demandait à Hachem de ne pas lui donner trop de richesses. (même si finalement il a eu sagesse et richesses). Baisser les yeux pour ne pas regarder ce qu’on les autres et ne pas inspirer aux désirs qui nous appellent à chaque coin de rue : “Vibrez avec CocaCola”, “Devenez vous même avec de la Bkaila”… Un homme seul sur une île déserte se contenterait du minimum pour vivre et être heureux. Une noix de coco au petit déjeuner, un matelas en feuilles de bananiers et c’est tout ! Revenons chez nous avec notre Michkan et nos questions. Pourquoi avoir des référentiels de mesures différents pour l’Arche Sainte, la Table des pains et l’Autel des sacrifices ? Tout d’abord, nous avons dit que le Aaron avait lui des mesures contenant des chiffres non entiers. Il manque toujours un 0,… pour arriver à quelque chose de complet. Le Kli Yakar nous donne un enseignement extraordinaire. Le Aaron symbolise la Torah et donc la sagesse. Il faut toujours considérer que cette sagesse est incomplète et voir toujours plus haut. Dans Pirke Avot il écrit, “Qui est Sage ? Celui qui apprend de tout homme”. 

Ensuite, nous avons le Choulhan, (la Table) qui elle représente la royauté, qui est le plus haut degré de valorisation et de réussite dans ce monde. Qui plus haut et plus riche que le roi ? Pourtant, il faut savoir que cette richesse vient exclusivement d’Hachem. C’est pour cette raison que la table a une mesure entière et l’autre non. Celle entière pour se satisfaire pleinement de ce qu’on a (יש לי הכל), et celle cassée pour mettre en garde contre les désirs matériels, savoir les casser et apprendre à freiner ses envies lorsque la tentation est à chaque coin de rue.
Enfin, il nous reste le Mizbeah, (l’Autel) qui lui a des mesures complètes. Les Cohanim qui servaient au Michkan, apportaient des Korbanot (sacrifices) d’animaux pour expier les fautes du corps et des encens pour expier les fautes et nettoyer la Nechama. Il faut savoir que chaque faute même si on ne le voit pas au premier abord, détériore le corps et met un voile sur la nechama qui occulte notre connexion avec Hachem. De ce fait, après la faute, l’homme a besoin de se réparer pour devenir de nouveau entier. C’est la raison pour laquelle les mesures du Mizbeah sont complètes, car elles symbolisent la finalité vers laquelle l’homme doit tendre : Être entier.
L’explication du Kli Yakar sur cette paracha qui paraît très technique nous délivre un enseignement époustouflant, celui de ne jamais se sentir rassasié de l’apprentissage et celui de savoir se limiter dans les désirs qui eux ne rassasient jamais un homme. Devenir entier c’est savoir doser et éliminer le superflu pour ne garder et avancer qu’avec l’essentiel. (Conseil de Shlomo Hamelekh, l’homme le plus sage et l’un des plus riche de l’histoire)

par torathut.com

Hizouk

14 Feb 2024

David offre une bibliothèque comprenant une centaine de livres pour une école juive. Grâce à lui, des dizaines d’enfants vont pouvoir étudier. Peut-il s’en attribuer les mérites ? Peut-il s’enorgueillir ? Quel est son salaire ? Voyons de que nous dit Pirké Avot : “Tout celui qui s’investit dans le public, son investissement doit être désintéressé. Le mérites des pères l’accompagne…” (2-2) : Rabenou Yona explique que celui qui s’investit et s’occupe du Tsibour (public) devra le faire exclusivement לשם שמים puisque bien que l’initiative vient de lui, la réussite et la concrétisation vient uniquement du זכות אבות (du mérite des générations précédentes). Cependant, vu que David à fait le “boulot” pour eux (les générations précédentes), alors c’est comme si il avait le travail de tous et donc le salaire de tous lui reviendra. Rabenou Yona ajoute les mérites que David aura en s’étant occupé des besoins du Tsibour : Premièrement, il aura une grande réussite car il a derrière lui le זכות אבות. Deuxièmement, tous les fruits de son action vont lui revenir. C’est à dire dans notre exemple, dès qu’un enfant étudiera dans un des livres qu’il a offert, alors il aura un salaire. Et enfin, cette action va influencer toute sa vie car il va faire descendre sur lui une nouvelle lumière qui va l’éclairer dans sa Avodat Hachem (son service divin). David est gagnant sur tous les tableaux, à conditions bien sur qu’il reste humble et prenne conscience lorsqu’il agis que la réussite de son action n’est liée qu’au mérite de ceux qui nous ont précédé.

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Halakha

14 Feb 2024

Certains cadeaux ne peuvent être fait et donc reçus à chabath s’ils ne sont pas utilisables le jour même. Mais il peut arriver que des invités offrent à leur hôte un tel cadeau. Comment réagir dans une telle situation ? Il faudra dans ce cas là demander à l’invité de poser le cadeau sur une table ou autre et de ne surtout pas le prendre de ses mains. Car cela représenterait un acte d’acquisition. Bien sûr tout doit être fait en expliquant à la personne la raison et de faire preuve de diplomatie pour ne pas faire honte à la personne.

par torathut.com